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Voilà vingt ans que les dieux demeurent silencieux. Même le Père de l'Aube, cette immense montagne qui dominait Nymlerith et dont le fanal illuminait les cieux, s'est éteint. Depuis lors, le monde est en proie aux conflits. Pourtant, une lueur d'espoir semble renaître avec l'apparition de nouveaux légataires de l'Œil Divin. On raconte qu'un porteur qui serait capable de gravir le Père de l'Aube pourrait atteindre une forme de divinité. Pourquoi pas vous ?
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[FB : -300 av. DD] Plongée dans l'abîme [PV Ahriman]
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Ymir
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Ymir
Mer 3 Avr - 1:07

Plongée dans l'abîme



Portée, secouée mais surtout penchée. L’embarcation des Premiers-Hommes plonge dangereusement vers la surface agitée des flots de la Mer Ombrale. Leur navire, paraissant aussi efficace qu’un radeau au milieu de ces houleux vallons, continue pourtant sa traversée. Les marins sont habitués à l’explosivité de Givrefeu, qu’ils ont d’ailleurs domptée auparavant. Les regards, débordants d’un sang-froid mis à rude épreuve, ne trompent pas : tous n’en sont pas à la première traversée de ces courants ignorant les lois physiques. Tous ? Non. Faisons donc les présentations.

Voyez cette géante cornue, affalée sur le pont du bateau, à l’air aussi pâle que sa peau de lait ? Voyez son air hagard tandis qu’elle lorgne sur les relents de colère marine, ne retrouvant qu’un peu de sa fougue habituelle pour beugler à la scélérate. Malheureusement, elle ne sera pas entendue et ce n’est pas qu’à cause du vent qui s’affaire autant à pousser la coque de bois qu’à la marteler de trombes d’eau. La vague repérée par l’élémentaire n’a pas apprécié être observée. Elle-même une manifestation de Mère-Nature, elle aura alors jugé de bon ton de s’abattre de plein fouet sur l’engeance terrestre pour la réduire au silence et pour lui faire éprouver la violence d’un choc dénué du moindre enchantement hydro.

Notons que si Ymir a par la suite restitué un peu de cette eau saline infiltrée dans sa bouche, cela aurait pu être pire. Le moindre déjeuner ingurgité avant de prendre la mer aurait subi le même sort. Fort heureusement pour la dignité de la guerrière, ses besoins physiologiques sont inexistants. A la voir aussi comateuse pourtant, on jurerait qu’elle éprouve le mal de mer. Et pour peu qu’on le lui demande, elle en est bien victime, mais pas au sens par lequel les mortels l’imaginent pour eux-mêmes. De l’avis de la terrestre, son homologue hydrique aurait été des plus ravis de la remplacer pour cette mission. Où la trouver ? Cela, Ymir l’ignore. Ce qu’elle sait, cependant, est que sa chère terre lui manque et que le tumulte environnant l’empêche même de se concentrer suffisamment pour appeler un de ses enfants auprès d’elle.

Tout cela, ses camarades de navigation en ont conscience. Et à son instar, ils savent que si la millénaire a accepté d’embarquer, ce n’est ni pour le paysage ni pour le défi de réussir l’aller-retour entre Serendia et Lucarion, mais seulement parce que le Saint-Empereur Stahlbar a réclamé qu’on ramène un exilé sur sa terre d’origine. Le but n’est évidemment pas de faire preuve de clémence, mais d’extorquer à ce vieux fou auto-convaincu de sa démence tout ce qu’il sait sur les harpies des glaces. Le prédécesseur du Vainqueur Funéraire était certes le père du souverain actuel, mais son fils a toujours été conscient des magouilles conclues entre leur famille et la sororité. Maintenant qu’il a récupéré le trône et que son ascendant à rejoint leurs ancêtres, l’Empereur compte bien rançonner le savoir de son oncle, que les Sœurs ont fait déporter de force sur Lucarion.

Bien sûr, ni lui ni aucun effectif armé d’Halogia ne peuvent effectuer ce voyage sans attirer l’attention des terribles mégères qui disposent peut-être de moyens de réduire au silence tout misérable savant trop de choses, où qu’il soit. Concernant Ymir, des absences de sa montagne ont déjà été signalées régulièrement et ce depuis des siècles, ainsi la dernière en date ne serait pas plus suspicieuse que les précédentes. La manifestation terrestre a bien le droit de partir ailleurs pour voir si les cailloux sont plus ronds. Quand aux hommes qui l’accompagnent, si ce sont des rebuts sociétaux, aucun lien ne peut être fait avec Halogia puisqu’il s’agit d’un clan ayant depuis longtemps trouvé terre d’accueil en Lucarion, laissant son nom s’effacer peu à peu de l’histoire du Nord. Ironiquement, ils ont fait ce choix d’eux-mêmes dès lors que le Mont Vulkharn a été réduit au silence par les éveillées d’Amdusias. Peut-on trouver meilleure escorte pour un vestige de l’ère volcanique qui s’acclimate au froid agressant tant les corps que les âmes des prétendus barbares ?

Soudainement, alors qu’elle était hagarde, voilà que la géante se redresse, retrouvant un air plus assuré. Le responsable de la longue-vue venait d’hurler à la côte, signifiant dès lors l’imminente fin de mois de navigation et de complications. Voilà que la troupe de nordiques peut enfin espérer avec un peu moins d’idéalisme atteinte la côte des parias. Cette certitude n’en était après tout jamais une même pour des marins habituées à chevaucher l’Ombrale. A l’approche de la terre ferme, la fureur maritime semble enfin se tarir quand le navire Halogien atteint les récifs. Ceux-ci, constitués des carcasses de malheureux navigateurs n’ayant pas eu leur chance, indique tout de même un semblant de zone sûre pour aborder la terre maudite de Lucarion.

Et tandis qu’elle était restée à bougonner de mélancolie dans son coin pendant une grande partie du trajet, la géante aux oreilles d’elfe fut la première à bondir hors du pont afin de retrouver un semblant de sensation familière. Peu importe à Ymir que ce sol ne soit pas continental, le simple contact avec une étendue meuble lui permets de se sentir à nouveau chez elle. Et surtout, le calme retrouvé lui permet enfin de redonner à sa magie les formes désirées. Ce dernier souhait devrait néanmoins atteindre. En effet, là ou la terrestre n’a eu d’yeux que pour son environnement immédiat, elle finira interloquée par le silence qu’observent ses compagnons de route habituellement peu discrets. En les observant circonspecte, elle dirigera son regard rubescent dans la direction qui semble attirer communément leur attention. Enfin, ce sera son tour de s’exclamer lorsqu’au loin, une étendue de végétation particulièrement luxuriante tranchera avec le reste du paysage brumeux et noirâtre. Ainsi donc, la triste vie minérale qu’ils foulaient était morose au profit de cette verdure insoupçonnée ? La Jomsviking sait pertinemment que son homologue sylvestre n’aurait aucune peine à la défaire. Pour autant, ce même constat purement naturel l’attriste. Contrairement aux autres, le fait que ce soit un indice équivalent pour débuter leurs recherches ne lui apparaît d’aucun réconfort.

« Ymir chérie. J’te promets que si on arrive à ce bosquet avant que les occupants n’en décampent, je t’offre vingt livrées de ce terreau de charbon rien que pour toi. Tu veux bien te bouger un peu ? »

Commentera le plus massif des hommes de clan, seul d’ailleurs à dépasser verticalement l’élémentaire dont il se permettra de plus de souffleter la carrure. La réponse de l’engeance ne se fera pas attendre, un réflexe d’allonge venant enfoncer l’amas de tripes sous lequel, selon l’homme mûr, se cachait de solides abdominaux d’acier. Ce n’est qu’après que la terrestre se voit éclairci la voix en ignorant le rire de son compagnon que le groupe engagera la marche vers le mirage luxuriant.

Rapidement, les Halogiens constatent que ce lieu d’exil semble plus vivant que le laisse supposer sa fonction première. Quelques marmots les observent déambuler d’un regard curieux avant de prendre courageusement leurs jambes à leur cou dès lors qu’un des barbares posent le regard sur eux. A l’étonnement des missionnés,  tandis qu’ils se rapprochent de l’étrange végétation, les contours d’un village conséquent se dégagent de l’horizon brumeuse. Et tandis que le temps nécessaire à s’en rapprocher fut vierge de rencontre, les abords de cette bourgade miraculée se révélent garnis aussi bien de champs et vergers que d’une faune particulièrement distordue. Le bestiaire Halogien est indiscutablement féroce, mais ses composants ne laissent que peu de doute à une interprétation erronée. Or, la joyeuse troupe septentrionale ne parvient même pas à expliquer la bizarrerie ayant eu le mérite de faire stopper leur course. Cela ressemble pourtant fortement à un cerf comme les bois Meridiens en comptent des centaines. Mais même Ymir ne croit pas se souvenir avoir déjà vu un de ces quadrupèdes se tenir sur deux pattes seulement, tout en ayant un ventre émacié au point que ses côtés n’en transpercent la chair. Toutefois, ils ne l’approcheront pas davantage puisque la créature semble plus hurler bestialement par désir de se repaître de ses spectateurs que par douleur de son horrible blessure. Heureusement pour la Jom et sa troupe, une cage entre les deux partis empêche toute perspective de bain de sang d’être considérée.

Or, cet infime contretemps aura suffit au groupe pour attirer l’attention. Le clan de parias Halogiens demeure certes en Lucarion, mais bien loin de ce village qu’ils découvrent pour la première fois. Quand à l’élémentaire, ses appendices elfiques et sa taille démesurée signifient clairement qu’elle n’est pas d’ici. L’agente du Saint-Empereur entretient d’ailleurs une constitution bien trop généreuse pour pouvoir faire illusion. L’étrangère tentera alors de prendre la parole, au nom du groupe de locaux qu’elle représente.

« Nous cherchons un certain Eid Stahlbar. Savez-vous où le trouver ? »

Dans l’attroupement qui les dévisage, une silhouette se détache en semblant leur indiquer de la suivre. Dans le doute, la délégation d’escorte emboîte le pas à  l’étranger, après s’être assurée que leur homme ne figure pas parmi les badauds. Leur autorité physiologique aurait-elle été si efficace qu'elle leur évitera de devoir mériter leur réputation internationale de barbares ? L'engeance prendrait en tout cas le tête de leur file, suivie d'assez près par son compagnon et le reste de leur rustre équipage.



Fiche de présentation :
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❝ La Voie se trouve où mes pieds foulent la terre, l'Horizon où se porte mon regard, le Trône où je m'assieds. ❞
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2. ACUPUNCTEUR
3. ARTS MARTIAUX
4. REGARD CLAIR
5. SORCIER
6. TRANSMUTATION
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Ahriman
Ven 5 Avr - 5:58
Quand le soleil s'efface, l'oeil cyclopéen est le seul faiseau fascinant les navires.
Un écho de la gorge des confins gronde, comme d'un long gargouilli étouffé, le murmure d'outre-tombe se fraie un chemin au flanc des falaises escarpées. Puis d'un soupir, la poussière s'écrase à revers, dans la pente en direction de la périphérie de cette lande, s'épuisant sur un tapis végétal.
Poussant sur cette sépulture stérile, où les grimpantes érodent même la pierre d'une lente étreinte. Ornant de torsades les colonnes et pointes gothiques, quand les tombantes forment des rideaux là où une entrée, un mur devait se trouver. De vastes vestiges sont digérées dans ce bosquet, où bruissements et craquements frémissent à l'idée d'un aller sans retour.

D'un pas incertain, l'on s'engouffre à travers cette barrière versicolore, oscillant d'un vert morne à mauve spectral, en passant par diverses nuances parsemées ici et là comme de lueurs scintillantes. Après un battement de cil, ces dernières se mirent à virevolter comme des lucioles.
D'un dernier balayage du bras, une curieuse guirlande d'ossements mêlée à l'étouffante étreinte laisse place à la contemplation nocturne de cette mystérieuse tribu que ces bambins rejoignent et alertent.
Comme d'un sanctuaire harmonieusement disposé malgré les décombres, cette mosaïque de bâtiments respire encore la mémoire d'un chant céleste, porté à la Lune d'un choeur éthéré.
À travers ce décor sauvage, la sensation qu'inspirent ces ruines -illuminées de l'éclipse- attisent les sens autant qu'elles inspirent un respect de ses colossaux blocs de pierre taillées.
On se sentirait presque honteux de s'approcher pour en caresser les reliefs, comme magnétisé par le réconfort de cette majestueuse grandeur.
En tendant la main pour rapprocher le bout des doigts de cet édifice, un vrombissement en picote le creux, comme d'une vigueur régalienne que le temps ne saurait tarir.

C'était un refuge au milieu de nul part, surplombant une falaise au bord du monde, foulé par toutes sortes de créatures toutes plus uniques que les autres. Toute à la forme dérangeante, poussant l'instinct à la méfiance, tel le flash d'un trauma génétique.
Une quantité d'activité autochtone contraste avec l'extérieur de ce havre pour le moins exotique. Des êtres de taille méridienne, à la peau d'un charbon terni de reflets bleutés, vont et viennent sans se soucier de leurs visiteurs, comme des âmes en peine hantant un lieu, quand d'autres restent silencieusement cloîtrés à travers un voilage végétal, dans l'obscurité d'une bâtisse aux hautes arches pentues.
Leurs aménagements apparaissent comme précaires, et leurs ornements sont constitués d'une pierre reflétant avec vivacité l'éclat lunaire.
Leurs étoffes sont aussi fascinantes que les plantes parsemant ces ruines nocturnes aux luminescences tamisées. Au détour d'une première allée, dans un parterre dégagé, poussent toutes ces plantes féériques.
Mais ce doux nectar parfum vient d'ailleurs, de ces lanternes.. qu'une petite de ces locaux détache d'un arbre et y plante ses longues canines dans sa chaire, avant de tendre ce large fruit à un mammifère faisant de même. Un jus ambré s'en échappe. Du miel ? Une mangue ? Une pêche ? Un ribambelle de délices nous traverse l'esprit, à mesure que l'arôme de fleur blanche sucrée se dégage de cette douce purée luisante.

À première vue, aucun individu ne semble porter d'arme.
En revanche, au moment où la mère des gemmes et sa troupe se firent guidées par ce cortège muet.. son attention pu s'attarder en l'attente un quelconque évènement.
En effet, des individus proches se dégageait comme une énergie familière, commune.
Remontant le flanc de la colline, serpentant le chemin où chaque pavé nous éloigne plus du temps. D'une inspiration plus profonde, la senteur grillée d'un bouquet d'essences exotiques parvient aux narines de ceux qui découvriront l'instant d'après l'imposant bâtiment niché au cœur des ruines.

Cette cathédrale circulaire d'où sont disposés des brasero à encens, qu'un petit hominidé difforme attise d'une résine craquelante, possiblement aux plantes séchées. Encore là toutes sortes d'objets et d'artéfacts des ruines s'y trouvaient exposés religieusement.
Ici toutes sortes de créatures se mêlent aux membres de la tribu. Se reposant les unes contres les autres, allongés comme assises les yeux clos de quiétude. Ou encore discutant lentement dans un dialecte inconnu, presque guttural et chantant, en trainant sur certaines sonorités, en appuyant d'autres syllabes orientales.
Quittant les brasero, d'un rapide et fluide pivot de talon, la démarche irrégulière du petit être aux bras ballant se rapproche du groupe. Que les accompagnant saluent le poing fermé sur leur masque d'un léger choc audible.
Portant le seul masque rouge et fantaisiste, encadré de ses oreilles grotesques. Ce lutin rabougri  porte la pipe -reluisante de cette pierre endémique- qu'il remplit de la même résine aromatique aux émanations rubescentes.
Après s'être hydraté les lèvres sur sa langue, il s'éclaircit la gorge d'un raclement ridicule.

- Mon nom est Krapzoug, et vous voici zau Repos du Sygne Noir. Prenez place, zétrangers.
Et d'ailleurs, j'crains pour vous d'être le seul à pouvoir communiquer dans c'dialecte.
Dites-moi l'objet de votre déroute chez nous, ainsi que ce qu'vous comptez faire.
Si vous désespérez d'obtenir une réponse, osez rentrer en contact avec la Mer des Rêves, que ce soit par le rêve ou la méditation. Le temps qu'il faudra.


Il attrape un coussin pour s'y avachir, comme il y en curieusement un peu partout. Tous enrobés de leur fameux textile, de diverses.
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Ymir
Ven 5 Avr - 23:33

Plongée dans l'abîme




Ce n’était pas la première fois que les exilés du Nord faisaient la navette entre leur refuge et leur ancienne patrie. Leur aînée, n’ayant toutefois jamais posé le moindre pied sur le manteau de désolation Carian, était donc un peu plus nerveuse que sa suite, sous ses profonds air de nonchalance. Ymir a beau ne pas se sentir liée au Père de l’Aube, la lumière de ce dernier illumine malgré tout le monde dans lequel elle évolue habituellement. Est-ce donc conséquence de l’absence régulière de lumière céleste dissipant ce brouillard ? La raison est-elle plus mystique, impactant directement des formes de vie détournées du regard de leur divinité ? Quoiqu’il en soit, l’apparente Halogienne ne parvient pas à se familiariser avec l’interprétation que ce territoire diffuse de la notion de vie. Ce qui est pour le moins ironique venant d’une élémentaire ayant façonné sa propre définition du concept.

Ironiquement, l’indépendante souffre ici de la divergence entre ses habitudes et son expérience actuelle. Des siècles durant, la terrestre s’attacha à considérer Nymlerith dans son ensemble sans jamais prendre un parti différent de ce qui lui importe égoistement. La voilà pourtant perturbée, dès lors que les formes de vie observées ne sont pas humaines, ni même humanoïdes au sens continental du terme. Plus encore que les autochtones, dont un seul les escorte, c’est l’environnement qui interpelle les missionnés. Là d’ou ils viennent, il est certain que les végétaux quémandent du soleil pour croître. La végétation locale se serait-elle adaptée pour s’ériger au gré de la clarté lunaire ? Comme une sorte d’intuition, à lorgner sur les luxuriants vestiges, la géomancienne le suppose. Mieux, elle le sait… ou bien pense le savoir. Quelle autre explication donner à son malaise, face aux vivants naturels qui dominent son domaine de création ?

Et comme pour confirmer ce ressenti, alors que le groupe serpente sur un alignement de pavé érigé le long d’une colline, cette douce odeur d’encens s’éveille. Stimule l’odorat d’Ymir, puis de ses accompagnateurs. L’un d’eux s’exclame alors qu’il a oublié ses cigares dans les cales. De la raillerie collective provient alors l’imprudent conseil d’en confectionner à partir de l’origine du captivant fumet. Les locaux ne semblent pas se fendre de conseils quant à la saugrenue idée, murés dans un silence perturbant depuis le début de cette rencontre. C’est donc sans un mot de leur part qu’une cathédrale délabrée voit ses contours se dessiner avec une netteté progressive aux regards des nordiques. D’incendiaires lueurs contrôlées guideront alors leur chemin de façon plus chaleureuse que l’escorte muette. Or, la silhouette aperçue marquerait le début des ennuis.

Du simple être alimentant les braseros, l’édifice se révéla empli d’une assemblée hétéroclite et exotique, donnant à cet attroupement plus de similitudes avec une foire qu’avec un choeur. Tous semblent berçés d’une quiétude que les parvenus jugent sage de ne pas troubler. Non pas que ces Premiers-Hommes soient couards, seulement ils ne connaissent pas cette faune aussi bien que leurs proies habituelles. D’ailleurs, le supposé pyromane ne laisserait pas le temps aux Halogiens d’en découvrir davantage sur les lieux, traînant son enveloppe difforme jusqu’à ses invités. Ce fantaisiste là dénotait même des autres étrangetés aperçues jusque-là, mais les marins seront gratifiés de l’unique être capable de parler leur dialecte en ce lieu. Le seul à même de les comprendre et de les aiguiller, donc, pour peu que ce désir soit le sien. Le singulier personnage s’acquitte de formalités et redevient fidèle à l’image qu’il renvoie aux ermites des neiges : celle d’un drôle d’oiseau, tandis qu’il se vautre dans une soie bien plus riche que l’environnement.

« Krapzoug, est-ce ? Ces hommes vivent, ou plutôt survivent, ailleurs dans ce territoire. Peut-être les as-tu déjà aperçus ? Ils sont mes propres guides dans ces terres, quand bien même ils se soient avoués vaincus dans cette… communauté -pour ne pas dire bourgade-. Je suis venue chercher un homme, répondant au nom d’Eid Stahlbar, dont on m’a laissé penser qu’il pourrait être ici. Ce nom t’évoques-il le moindre souvenir ? »

Toute hâtive que fut l’élémentaire de débuter sa recherche de l’aiguille dans une meule de foin rabougri, sa curiosité naturelle la piqua également. L’hominidé avait évoqué une Mer de Rêves. Est-ce une des étendues bleutées que le continent nomme autrement ? Un second lieu plus extravagant encore que ces ruines ? Le dénommé Krapzoug semblait si certain que la réponse de la quête Halogienne résidait là-bas, qu’il serait tout de même judicieux de creuser la piste. Tout au moins, de vérifier que ce ne soit pas d’affabulatoires tentatives venant de gens disposés à gaspiller la richesse temporelle d’autrui. Sur ce plan comme sur d’autres, la nivéenne a tout d’une pingre. Cependant, elle conserve le sentiment de devoir agir avec d’inhabituelles pincettes, puisqu’elle fait face à un être inédit sous bien des aspects.

« J’ignore ce qui a de la valeur à vos yeux, mais nous pouvons payer pour ces informations. »

Ajoutera le responsable des voiles, s’étant rapproché de l’aînée de sa troupe afin d’augmenter la distance observée avec la foule de locaux et de créatures. Enfin, parce qu’il s’agit peut-être là d’une merveille dont elle n’a connaissance, la géomancienne alourdira encore sa quête d’informations.

« Nous désespérons peut-être d’avoir une réponse, mais qu’est cette Mer des Rêves que vous évoquez ? La contrée aux confins du monde se targuerait-elle d’une richesse inconnue aux yeux des continentaux que nous sommes ? »


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Sam 13 Avr - 14:30


Plongée dans l'abîme
L'invitation




Les oreilles du lutin noctambule s'agitent, et même frétillent aux paroles de la géante. Quant à son masque, d'épaisses lentilles sculptées dans l'obsidienne même de la nuit, le sourire d'ivoire semblerait se tirer dans la fumée. Nul doute qu'il cachait un visage aussi retord que sa voix criarde.

Han ? Hm.. moi et les noms, c'est compliqué. Les loustiques du continent ?

Baragouina-t-il, circonspect, appréciant l'équipement des membres de cette expédition.
Puis, comme pris d'une épiphanie, sa douloureuse réflexion trouva son terme à la suggestion du gabier.

Pour tout vous dire, mes grands, ça doit faire une petite dizaine de Fiesta qu'j'n'ai pas eu d'leurs nouvelles, même s'ils sont à une demie de marche, ils traînent à passer.
Une Fiesta ça revient à finir un cycle d'environ 9 jours chez vous. C'est l'Ambrier, l'arbuste qui donne les fruits délicieux, qui nous sert d'repère si vous vous posiez la question.
Information à part, j'vous laisse en décider des bidules qu'vous pourriez nous laisser. Et si ça m'plaît, j'vous zinvite à la Fiesta d'ce soir.

Jaspilla-t-il lentement, comme pour peser chaque mot.

La Mer des Rêves, c'est là que le voile de la réalité est le plus fin, où le monde connu murmure avec l'au-delà.
Voyez c'la comme un rêve aux dangers réels, où s'faire emporter par les courants d'l'horizon des souhaits peut faire d'ce voyage un aller simple.. ou vous changer radicalement.

Quoi qu'il en soit, il n'y a qu'là-bas qu'vous pouvez obtenir toutes sortes d'info' sur Lucarion comme sur vous-même. Nous offrons c'voyage comme un don à tous ceux qui nous trouvent.
En suivant la Voix des Songes vous y arriverez, j'peux pas vous en dire plus ça se ressent sur place, vous comprendrez.

Expliqua-t-il, de nouveau face à face à la concernée, penaud.
C'est alors que, depuis son étrange gourde, l'individu prit une lampé d'un liquide vert et particulièrement visqueux. Et seulement, là il prit la parole.

Permettez-moi d'vous préciser aut' chose : Un seul des vôtres peut la traverser, tous.. serait trop coûteux, même si vous zavez l'temps de votre côté.
Vous d'vez connaître c'genre d'expérience, vu les zigoto d'exception parmi les vôtres, et je ne parle pas que d'animiste..

Le difforme ponctua la fin en suspens d'un sensiblement pivot de la tête en l'air, marquant un temps pour esquisser un sourire avant de tirer sur sa pipe.


C'était là où se trouvait la pierre angulaire de l'architecture locale. Un dôme concentrique d'étranges pierres, en demi-sphère, reposait sur d'élégants piédestaux rectangulaires finis en pointes florales.
Posées dessus, comme lieu de choix pour une exposition, se niche de subtiles rondeurs se rapprochant de pomme de pin stylisées, où la crète hérissée de chaque piliers partent pour se rejoindre au centre de la coupole.
De grandioses vitraux parsèment et épousent parfaitement les angles de cette façade lisse, où la pierre forme comme des vagues ciselées pour flatter le verre iridescent.
À travers l'imposant porche s'échappe un souffle sépulcral, et de fines volutes similaires à celles de la pipe du p'tit père.

L'intérieur était encerclé d'alcôves se succédant d'une arche à une autre, suivant les colonnes extérieures, ici où des créatures dormaient déjà dans la plupart.
Ces espaces discrets se trouvent séparés de l'antichambre par de majestueux piliers pulsant avec nostalgie d'une énergie chtonienne. Là où, au centre de ce temple aux sensations contradictoires, se trouvait encore d'autres créature. Comme transportées, celles-ci se tenaient fermement assises, le regard clôt. Un parfum mystique émanait d'eux, comme si ici la distinction entre chair, énergie, et pierre n'était que plus ténu.

Les vaillants qui redoutent l'inconnu y sombrent, ceux qui en doutent disparaissent. Mais qu'en est-il des courageux qui s'éclaire de leur peur ? Ces derniers pouvaient avancer fermement, décorés des épreuves passées.

Néanmoins, c'est ici que se trouvait le cœur du malaise, qu'une obscène caresse gratifiait l'unique et stoïque d'une invitation que quiconque souhaiterait refuser.
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❝ Si ça saigne... on peut le cogner ! ❞
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Ymir
Mar 16 Avr - 19:18

Plongée dans l'abîme




Loin de désépaissir, les interrogations pesant sur la conscience des continentaux se multiplient. Des réponses de leur hôte, tous ne semblent pas satisfaits. Bien sûr, tous autant qu’ils sont n’auraient pas été envoyés retrouver un Saint-Empereur exilé aux confins du monde s’il s’agissait d’une tâche aisée. Même pour la délégation cependant, l’incertitude d’être comprise se voit ravivée par les élucubrations du masqué. Qui peut dire s’il comprend véritablement le sens des mots utilisés, lorsqu’il semble employer chacun d’eux avec d’infinies précautions ? Hélas, les Halogiens seraient bien incapables de comprendre une formulation dans un dialecte local. Le choix de se fier aux informations délivrées, s’il n’est pas le bon, constitue l’unique à leur disposition. Leur instinct explorateur est fort heureusement éveillé par la perspective de sonder la frontière avec l’au-delà. Tant par amour du risque que par volonté d’attester du véridique à l’origine d’un des mythes égayant leur culture.

Ymir

« Nous aurions volontiers participé à cette fiesta si nous n’avions pas de délais serrés à tenir. Peut-être pourrais-tu nous indiquer la direction à prendre pour atteindre le prochain hameau doué de vie ? Celui que tu situes à une demi de marche. Il nous rapprochera de cette Mer des Rêves, n’est-ce pas ? »



Ymir lorgnait sur l’étrange d’un regard laissant transparaître son incertitude. Qu’il s’agisse d’elle ou de son escorte, aucun n’avait semblé particulièrement attiré par l’échantillon de boisson verdâtre observé. Ces amateurs de boissons n’ont certes attesté que de la couleur du breuvage, mais cette dernière aurait besoin de plus de chatoyance pour les persuader d’en prendre une lampée. Que dire de la consistance dont ils avaient été surpris de la voir réussir à fuir de la gourde ?

Et tandis qu’elle détournerait enfin le regard du lutin, l’élémentaire fixe ses compagnons. D’un signe de tête approbateur, elle les enjoint à offrir, chacun leur tour, quelque chose pour remercier l’informateur.

Le navigateur, premier à s’avancer, présentera une dague au manche taillé dans un chêne.Le bois était gravé de runes servant à la fois de signature artisanale et d’incantation, pour peu que quiconque souhaite infuser sa magie dans l’arme de poing. C’est toutefois le croc faisant office de lame qui retenait principalement l’attention. Aucune confusion ne pouvait être faite avec une griffe. Et la simple dimension de la dent animale laissait rêveur quant au gabarit de l’ancien propriétaire.

La vigie des Premiers-Hommes offrirait quant à lui une plume d’oiseau des glaces. Simple en apparence, cela s’échange contre nombre d’ingrédients auprès des bons alchimistes, le volatile étant naturellement capable d’user de sortilèges cryogéniques. En plus, naturellement, d’être rare. C’est en vérité un trésor de famille qui vient d’être cédé.

Vint le tour du cuisinier qui consentira à se séparer d’un échantillon de ses propres épices trouvées en Qalish. La plante, cramoisie, frêle et ondulée, ne paie pas de mine à première vue, un peu comme tout ce qui parvient à vivre en Lucarion. Les dénommées langues du diable surprennent néanmoins par leur capacité à conférer une saveur incendiaire au moindre plat qu’elles agrémentent un peu trop généreusement. Une façon d’apporter un peu de soleil sur la terre lunaire.

Enfin, le responsable théorique de l’expédition s’avancera les mains en apparence vides. Or, il sait être en présence d’un amateur de substances que la fumée fait s’évaporer. C’est donc une livre de tabac trouvée en Mizutsune qu’il offre au fumeur de pipe, afin de lui faire attester que l’herbe est plus verte ailleurs. La besace contenant ce présent déposée devant leur hôte, l’homme reculera en opinant respectueusement du chef.

Et au terme de cette série d’offrandes typiquement continentales, l’engeance terrestre sera seule à n’avoir offerte aucune gratitude matérielle. Elle qui jaugeait les présents déjà accordés ne semblait pas les estimer, seulement les considérer. C’est alors que sa main plongera dans le sol Carian sans aucun signe avant-coureur. Un être sensible pourrait sentir sa magie s’harmoniser avec une infime partie de la terre désolée, dans une forme tout à fait particulière. Et d’un second geste brusque, sa poigne arrachera des entrailles du sol l’oeuvre d’une forgeronne naturelle. Un bâton de sorcier, chose qui lui paraissait davantage correspondre à son interlocuteur qu’une arme tranchante ou contondante, si raffinée soit-elle. Chose surprenante sur l’apanage de druide, sa façon de pierre était striée de motifs semblables à ceux dont un morceau de bois peut s’enorgueillir. L’on aurait alors cru voir un ouvrage taillé à même un de ces majestueux pétrifiés par un contact avec les fendeurs de ciel. Le toucher démentait vite cette impression, mais le poids de l’objet en lui-même entretenait l’illusion. Surtout quand au sommet de la tige, quatre saillants appendices semblaient maintenir un saphir noir étoilé telle la poigne d’un dragon. Pire, le joyau luisait de manière surnaturelle, tandis qu’en son centre, l’on pensait être observé par l’oeil-même de la créature de légende.

Ymir

« Penses-tu tout cela suffisant pour que ton offre d’hospitalité soit reconsidérée dans le futur, Krapzoug ? »



Les Halogiens, pressés par le temps, s'acquittent d'offrandes pour rester en bons termes avec Krapzoug. Leur recherche continue...
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