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Novo denique perniciosoque exemplo idem Gallus ausus est inire flagitium grave, quod Romae cum ultimo dedecore temptasse aliquando dicitur Gallienus, et adhibitis paucis clam ferro succinctis vesperi per tabernas palabatur et conpita quaeritando Graeco sermone, cuius erat inpendio gnarus, quid de Caesare quisque sentiret. et haec confidenter agebat in urbe ubi pernoctantium luminum claritudo dierum solet imitari fulgorem. postremo agnitus saepe iamque, si prodisset, conspicuum se fore contemplans, non nisi luce palam egrediens ad agenda quae putabat seria cernebatur. et haec quidem medullitus multis gementibus agebantur.
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Un cadeau - Wanjeon Jang - Fini
Fiche de présentation :
https://mirrorofmagic.forumactif.com/t2-modele-de-presentation
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astro
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❝ Une citation qui claque ❞
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Un cadeau - Wanjeon Jang - Fini Hiueurj
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10/04/2024
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Wanjeon Jang-In
Wanjeon Jang-In
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Wanjeon Jang-In
Mer 10 Avr - 16:07
Wanjeon Jang-in
La bête/L'automate
Vos Informations
Age : 23 ans

Sexe : Femme

Race :Naine
Métier : Forgeronne

Faction : Indépendant
Potentiel désiré : 1 000

Œil Divin : Aucun

Étiquette de départ :
[Talentueux] (offert car pas d’oeil Divin)


Feat Dans cet ordre : Lila Decyrus - Atelier of Ryza

Codes du règlement :

Description Physique

Beaucoup de mots ont été utilisés pour décrire la fille des Jang-in, parmi tous, aucun n’a été autant répété que l’automate et la bête. Avec ces deux mots, il est presque impossible de mal se représenter Wanjeon Jang-in, mais ne soyons pas radins et tentons ensemble de nous faire une idée plus fournie.

Wanjeon Jang-in est une naine, mais même parmi les nains, elle est considérée petite. Bien que sa croissance soit terminée, elle manquait la taille moyenne de son espèce de sept bon centimètre, plafonnant à un mètre treize malgré tous ses efforts, parce que sa taille avait été sacrifiée. Contre sa taille, les déesses de la beauté lui ont offert tout ce qu’une femme pouvait jalouser d’un corps parfait.

Le premier de ces cadeaux prenait la couleur de la neige et de la craie, et la forme d’une crinière sans fin ou presque. Douce et légère, l’artisane n’a jamais eu le courage de la couper, quand bien même ses cheveux représentaient une gêne dans ses diverses activités. Qu’elle ait à les attacher ou à les tresser, la forgeronne ne renoncera jamais à ses cheveux, ou à sa fourrure par ailleurs. Il arrive que les nains aient un fin pelage, mais pour elle, on peut parler de fourrure, bien qu’elle soit localisée sur ses avant-bras et mains, épargnant le reste de son corps de la plaie qu’est de l’entretenir. Elle partage la couleur de ses cheveux, et si elle serait bien moins visible ou épaisse si elle la rasait, la première et dernière fois qu’elle l’a fait, elle avait pleuré pendant deux jours. Depuis, aucun ciseaux ou rasoir ne s'approchait ses mains, sa tolérance se limitant aux coupe-ongles et aux limes. Des ongles bien entretenus, c’est la base pour une belle jeune femme et une artisane utilisant très souvent ses mains.

C’est d’ailleurs un paradoxe particulièrement étrange, en la voyant, on ne pourrait pas croire qu’il lui arrive de battre le fer pendant des heures sans interruption. Elle était frêle, pour une artisane de son acabit cela en était presque une honte, encore plus pour une maîtresse d’arme, surtout des griffes. Il faut croire que ses muscles sont plus denses que la moyenne, ils n’apparaissent pas bien développés, mais si on devait les mettre à l’échelle d’un homme normal, son tour de bras quintuplerait de volume. Ce cadeau lui permettait de garder une apparence féminine malgré ses activités des plus physiques, bien que cela lui vaille d’être prise pour une faiblarde… Si on ne la connaissait pas.

Pour dernier cadeau, les cieux lui ont donné des proportions des plus provocatrices. Elle était comme un vase modelé par la plus affectionnée des mains, des hanches larges et une poitrine forte, ni trop petite pour être ignorée, ni trop disproportionnée au point de croire à une mauvaise caricature. Elle était simplement une belle femme, et la simplicité était bien plus effective sur quelqu’un comme elle qui ne cherchait pas à la mettre en valeur plus que nécessaire.

C’était là son dernier cadeau, et commençait sa seule fierté qu’elle a développée par elle-même, ses puissantes jambes. Pour qu’elle ait des jambes aussi fortes malgré sa musculature particulière, c’était révélateur du nombre incalculable de fois où elles avaient été sollicitées. Tout simplement parce que Wanjeon utilisait ses jambes cinq fois plus que ses bras, quand elle battait l’acier pour en sortir les impuretés, sa force provenait de ses jambes, puis de son dos, et enfin de ses bras. Lorsqu’elle utilisait ses griffes, c’étaient ses jambes qui l’aidaient à bondir, à esquiver, à donner un coup puissant, le reste de son corps ne servait qu’à guider son coup.

Elles étaient sa fierté, le corps même de son identité d’artisane et de combattante, elle en prenait extrêmement soin. Si on les insulte, ou qu’on fait de même avec quelque chose d'égale importance pour elle, Wanjeon entrait dans une fureur noire. C’était rare, mais lorsque cela arrivait, ses déplacements et sa posture changeaient du tout au tout. Le haut de son corps se relâchait, ses bras et sa tête balaient en avant comme un pantin à qui on aurait coupé les fils, tandis qu’elle s’accroupissait pour tendre les muscles de ses jambes au maximum. Comme ça, on dirait qu’une bête avait pris possession de son corps, et ses traits faciaux se déformaient. Ses yeux vairons semblaient abriter le diable même et transmettaient toute sa haine. Une expression jamais vue sur elle autrement.

Description Psychologique

Wanjeon Jang-in, la “Parfaite Artisane”, comme son paternel a décidé de l’appeler dans un vœu de la voir surpasser toutes les limites connues pour devenir la meilleure dans ce qu’elle entreprend. Un poil prémonitoire lorsque l’on sait ce qu’elle deviendra, mais elle ne pourrait pas avoir de meilleurs noms.

Wanjeon était un génie, purement et simplement. S’il s’agit d’utiliser ses mains, elle n’a pas son égale. Son talent inné pour un domaine d’artisanat ou même un style de combat était proportionnel à son investissement émotionnel dans cette discipline, et ne semblait pas avoir de limite. Ce qui était le plus perturbant, c’était sa vitesse d’apprentissage, qui couplé avec un comportement obsessif lui permettait d’apprendre tout d’une discipline en quelques années et d’en être un maître.

Oui, vous m’avez bien lu, on parle ici d’obsession, parce qu’il n’existe pas de mot plus fort pour décrire sa fixation une fois qu’elle s’est donné un objectif. Elle y travaillera jour et nuit, quitte à en souffrir, et encore mieux si le but semblait irréalisable. Elle était une véritable obsédée du succès, échouer ne faisait pas partie de son vocabulaire. Parce que pour Wanjeon il n’y avait rien de plus libérateur que de réussir après des efforts surhumains à maîtriser quelque chose. Être la meilleure dans un domaine était une bénédiction qui la comblait au plus profond d’elle de fierté, de satisfaction et d’un sentiment d’accomplissement sans égal.

Cet amour du travail bien fait, si l’on peut appeler ça comme ça, elle le doit à la culture naine, qu’elle affectionne beaucoup bien sûr, mais aussi à ses parents. Elle les dépassait dans leurs domaines, que ce soit physiquement ou intellectuellement, mais elle n’avait pas plus grande fierté dans sa vie que ses parents. Cela n’importait pas qu’ils soient meilleurs qu’elle ou non, tout ce qui comptait, c’était qu’ils étaient des artisans fiers et dédiés. Malgré tout, son talent, Wanjeon avait en vérité un ego bien mince. Ce qui comptait, ce n’était pas la taille de l’objectif, mais les efforts qui sont mis pour l’atteindre. Elle se jugeait capable d’atteindre des sommets, mais ne ridiculisera jamais ceux cherchant à atteindre la moitié ou le quart de ses objectifs.

Elle ne voyageait pas pour devenir meilleure, mais pour améliorer la discipline toute entière. Wanjeon était humble, elle sait que de son talent, il ne restera rien dans cent ans tout au plus, tout ce qu’elle pouvait faire, c’était rendre une partie du bonheur qu’elle a eu en apprenant la métallurgie ou le maniement des griffes en étendant les horizons de ces disciplines et en les améliorants. Si elle ne faisait pas ça, quel était l’intérêt d’avoir tout ce potentiel en elle ?

Cependant, vous pourriez vous tromper en la cataloguant trop vite comme une gentille personne, elle n’est pas foncièrement agressive ou égocentrique, c’est vrai, un argument pourrait même être fait comme quoi elle est dans la bonne moyenne en termes de sympathie, cependant elle cache en elle un monstre impardonnable. Sous ses airs inexpressifs, bouillonnait un monstre assoiffé de sang. En temps normal, on pourrait croire qu’il n’existait pas, mais si Wanjeon est poussée à bout, que ce soit en insultant sa famille, sa discipline ou parfois même elle-même, le génie entrait dans une colère noire.

Le contraste entre ces deux personnalités était tel que l’on pourrait croire à une seconde personnalité, et ce n’est pas bien loin de la vérité. Une Wanjeon était calme, retenue voir même faite de glace, avide de connaissance et redoutant plus que tout l’ennui, tandis que l’autre était une bête sauvage. Un monstre faisant pleuvoir le sang comme de la vulgaire pluie sur son passage dans un silence de mort malgré son sourire démoniaque. Elle n’a pas été diagnostiquée avec un cas de DID, pour elle, ces deux facettes de sa personnalité étaient la même personne, à vrai dire personne ne connaissait la seconde facette, personne qui ne veuille en parler sans tomber dans une profonde crise post-traumatique. Elle la garde enfouie au plus profond d’elle-même, préférant diriger cette folie destructrice dans la création pour rendre son peuple fier.

Votre Histoire

Laissez-moi vous raconter une petite histoire s’étant déroulée dans l’une des nombreuses îles de l’archipel Kuro. Plus précisément sur une île composée presque exclusivement de montagnes avec une météo des plus capricieuse. Cette île était la proie de nombreuses, presque incessantes nuits d’orages qui frappaient sans relâche et affûtaient les pics de ses monts escarpés. Les rares fois où le tonnerre ne résonnait pas dans les vallées, c’était le bruit tonitruant du métal frappant le métal qui prenait le relais, même si cette nuisance sonore là ne s’arrêtait jamais vraiment.

Cette île, détestée du dieu de la foudre, était le lieu de résidence du peuple pouvant se vanter d’être les meilleurs artisans : les nains. Les nains n’étaient pas dérangés par le bruit, parce que dans les tréfonds de leurs montagnes, le bruit des forges et des marteaux couvraient parfaitement le grondement de l’orage, et le sifflement de la vapeur s’occupait du bruit ambiant de la pluie. Et parmi ces nains travailleurs se trouvait Muhandae, un forgeron qui n’a jamais pris qu’un seul jour de sa vie hors de sa forge, pour il aimait le fer et le feu plus que tout dans ce monde, ou presque.

Lui qui était habitué à ne pas s’entendre penser lorsqu’il était dans sa forge tant le bruit était omniprésent, le regretterait presque. Il attendait dans une des rares parties silencieuses des montagnes, si profonde qu’elle n’avait pas besoin du système de réchauffement à vapeur des nains pour être à une température confortable, ce qui lui permettait d’être juste un peu plus calme. Les résidents de cette montagne ne venaient ici pas plus de trois ou quatre fois grand maximum dans leur vie, et c’étaient les seuls jours où ils acceptaient de ne pas travailler d’arrache-pied : lorsque leur compagne ou eux-mêmes était sur le point d’accoucher.

Lorsque le silence oppressant de cet endroit était enfin coupé par des pleurs, Muhandae ressentit un relâchement qu’il n’avait jamais expérimenté jusqu’à aujourd’hui, c’était loin de la satisfaction d’un travail bien fait ou du soupir suivant la confirmation qu’un client était satisfait de son œuvre. Non, c’était bien plus que tout ça, lorsqu’il pu poser enfin les yeux sur sa fille, il comprit au plus profond de lui-même sans pour autant le réaliser tout de suite : il regardait son apothéose, son chef d'œuvre.

Ce jour-là, Wanjeon est née, et le seul jour de repos de son père et de sa mère prenait donc fin. Un bon nain était un nain qui aimait son travail autant que sa famille, parfois plus, et les Jang-in étaient de très bons nains, aimant l’un et l’autre de la même manière. L’éducation de la jeune Wanjeon se passait donc dans la forge où elle apprit bien vite à s’habituer au bruit et à la chaleur, mais plus qu’à s’y habituer, à l’aimer. Elle savait tenir un marteau avant de prononcer ses premiers mots, puis de s'en servir avant d’écrire.

Si bien qu’elle eût forgé son premier couteau avant d’avoir atteint un âge à deux chiffres, loin d’être un exploit parmi le peuple de travailleurs qu’étaient les nains, mais qui prouvait sans peine sa véritable passion pour cet art, ainsi que son talent. Sa première création dépassait de loin les espérances de ses parents, et de loin leur propre talent. En tant qu'artisan et parent, il n’y a qu’une seule réaction à avoir en voyant le potentiel débordant de son enfant, lui apprendre tout ce qu’ils pouvaient lui apprendre.

Mais si Wanjeon était d’un génie rare lorsqu’il s’agissait de la métallurgie, elle avait bien plus de mal avec la profession plus délicate d'horlogères de sa mère, à son plus grand regret. Il n'y avait que tant que son père pouvait lui apprendre, et bien vite, l’histoire d’une poignée d’années, elle l’avait dépassée.

N’ayant plus de professeur, elle stagnait, et cette stagnation amenait en elle une certaine frustration, un sentiment qu’elle n’arrivait tout simplement pas à comprendre ou à contrôler. Elle n’a jamais été frustrée de sa vie, elle réussissait ce qu’elle entreprenait, et se désintéressait de ce qu’elle n’arrivait pas à maîtriser. Mais que devait-elle faire lorsqu'il n’y avait plus rien à apprendre ?

Cette frustration avait mené à de la colère, si bien que la moindre étincelle pouvait allumer le baril de poudre qu’elle était devenue. Pour pallier ça, elle avait eu la brillante idée de se mettre à l’apprentissage d’une arme. Cela lui donnerait quelque chose à faire, et elle était douée dans le maniement des griffes de combat. Peut-être même encore plus que dans la métallurgie, et elle en tirait un véritable plaisir après une période à vide sans se sentir progresser. Tout allait pour le mieux.

Le jour d’une rencontre amicale entre son dojo et un autre, son père lui avait même construit des griffes d'entraînement. En temps normal, Wanjeon n’utilisait que ses propres créations, mais son anniversaire approchant, son père avait décidé que cela serait un bon cadeau, là où sa mère lui avait offert une montre à gousset. Bien plus sentimentale qu’elle pourrait le laisser penser avec le peu de mots qu’elle prononçait par jour, les nains étant un peuple d’action plus que de mots, elle était allée dans son match amical des plus motivés.

Il y avait un problème cependant. Ces gants avaient un défaut mineur, mais qui fut exploité par son adversaire pour les casser. Ce défaut ne se serait jamais retrouvé sur un gant créé par le génie des Jang-in, leur concepteur son père en était dévasté, et son adversaire ignorant toutes notions de fair-play et d’honneur dans la victoire, enfonçait le couteau dans la plaie, insulte après insulte.

Comment sa fille unique avait réagi ? Premièrement dans un silence de plomb, ramassant simplement les morceaux de son arme pour aller les réparer pendant deux jours. Ils étaient dans un si mauvais état que cela aurait été allé plus vite de les remplacer, et ils auraient été de meilleure qualité, mais elle insistait, déployant toutes ses connaissances pour leur redonner une seconde vie.

Et ensuite, venait sa rage. Une colère froide et méthodique, une qui ne laissait pas de place à l’erreur dans son exécution. Lorsqu’elle s’était renseignée sur le dojo qui enseignait à ce nain les arts martiaux, elle était furieuse mais silencieuse, lorsqu’elle avait trouvé ce dojo et avait fait du repérage pour savoir à quelle heure le plus de disciple, incluant sa cible s’y trouvait, elle bouillonnait, mais n’avait pas une seule expression sur le visage. Elle ne retrouva son calme qu’une fois de retour chez elle, sa colère s’était dissipée, elle avait la tranquillité du faciès de quelqu’un ayant finalement terminé une tâche pénible, mais avait ses vêtements et ses griffes couvertes de sang.

Elle apprit plus tard qu’aucun nain de ce dojo ne reprit les arts martiaux après son intervention, et que par conséquent, il allait fermer ses portes. Wanjeon avait instauré en eux la peur de Dieu et de ses élus qui comme elles renferment un talent aussi bien créateur que destructeur, aucun n’oserait mentionner son nom ou celui de sa famille après cela, et encore moins insulter le travail de son paternel.

Ce dernier n’en apprit jamais rien non plus, personne d’autre qu’elle ne saura ce qu’elle a fait pour l’honneur de l’art que son père lui a appris, ni pour son apathie face à la sauvagerie dont elle a fait preuve. Cet événement malheureusement lui révéla quelque chose de très ennuyant. Elle n’avait plus rien à apprendre de la maîtrise des griffes.

Devrait-elle s’investir dans une autre discipline ? Elle n’allait pas tarder à atteindre la majorité, il ne pouvait pas exister tant de discipline dans les confins de ces montagnes qu’elle puisse apprendre, même l’horlogerie lui serait facile si elle s'investit au-delà de son blocage initial. Ses domaines qu’elle affectionnait tant ne pouvaient pas être si simples, il devait y avoir plus derrière.

Une idée lui vint. Elle allait partir en voyage ! Un voyage initiatique pour trouver plus à apprendre de ces si belles choses qu’on lui avait offertes. L’artisanat, la maîtrise des griffes, elle allait rendre au centuple le divertissement que lui avait donné ces deux domaines en les enrichissant, et en prouvant qu’avec, on pouvait changer le monde.

On n'oppose que très peu de résistance à son envie de partir parmi les siens, rien ne la retenait ici, elle était trop jeune pour enseigner, et trop accomplie pour qu’on lui enseigne. Elle avait l'âge parfait pour partir s’enrichir des connaissances du monde. Elle promit avant de partir néanmoins, qu’à son retour elle apportera un vent nouveau à l’artisanat des nains de ces montagnes.

Dans la vraie vie
Pseudo : Delta/Berut

Age : 22 patates et quelques pommes de terres

Comment vous nous avez connus ? : Kitsune

Un petit mot ? : ça ira

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❝ Surplombant monts et marées ! ❞
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Un cadeau - Wanjeon Jang - Fini 4QgnupH
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Fille du Crépuscule
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Fille du Crépuscule
Mer 10 Avr - 21:29
ATTENTION
Voilà le Staff
Hyperfixation et Hyperviolence


Oh, les nains capables de prouesses, ça me plait toujours ! Mais quand en plus, ils font des hyperfixations, et qu'en plus bis, ils sont charismatiques, je ne peux qu'aimer. J'ai hâte de voir où son côté sombre va la mener, ses évolutions potentielles, et surtout, tout ce qu'elle va accomplir. Je l'imagine bien dans beaucoup de scénarios, et j'ai hâte de lire tout ça parce que...

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