Mirror of Magic
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« Qui médit par la plume périra par le fer. » - Sakuya Asano [Terminé]
Citation :
« Abandonne ton corps, mais ne renonce pas à ton honneur. »
Image :
« Qui médit par la plume périra par le fer. » - Sakuya Asano [Terminé] Hiueurj
Feat :
Raiden Shogun - Genshin Impact
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1675
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12/02/2024
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Constitution :
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Sakuya Asano
Sakuya Asano
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Sakuya Asano
Lun 12 Fév - 18:47
Sakuya Asano
Fleur de l'Archipel
Vos Informations
Age : 23 ans

Sexe : Féminin

Race :Kuroïte
Métier : Lame des Fujiwara, Princesse héritière de Kuro

Faction : Kuro
Potentiel désiré : 1000 bien évidemment !

Œil Divin : [ŒIL DIVIN : ELECTRO]

Étiquette de départ : Liées au scénario :
[DISSOCIÉ]
[POPULAIRE III]
[INCOGNITO]
[LARBINS]
[STRATEGE]

Feat Raiden Shogun - Genshin Impact

Codes du règlement :

Description Physique

Le vent porte sa fragrance. La brise, elle, emporte sa mélodie.

Sereinement installée devant cette glace, la bugeisha observe son propre reflet. Son attention est focalisée sur le shamisen reposant entre ses doigts, sur ses cuisses, dont elle joue en miroir. Une ode à la paix, dans une région secouée par les tensions. Un contraste entre composition et réalité, dont la dualité s’exprime sur ses traits. La musicienne ne pleure pas, non, mais sa tourmente est visible à travers l’écho de son âme, d’une teinte prune.

Lorsque l’harmonie s’achève, l’instrument se tait. Ne tarde alors pas à s’élever une complainte, de la bouche de la petite fille qui s’affairait jusque-là silencieusement à coiffer l’adulte. Pourquoi avez-vous cessé de jouer, demande-t-elle, sans cesser de peigner la toison de parme de sa cliente. Car la partition est finie, sa compositrice est morte avant d’avoir pu l’achever, répond calmement la bugeisha. Le silence reprend alors ses droits, avant que la femme ne se retourne face à l’enfant qu’elle devine perturbée. Ses yeux en amande fixent la petite brune. Cette dernière, intimidée, tente bien de fuir ce regard pesant. Elle se dit qu’elle doit pour cela se focaliser sur un autre point de l’anatomie de la dame à la peau de satin. Les joues de la combattante s’étirent alors en un sourire chaleureux, apaisant relativement ce cœur enfantin. La cliente fera remarquer à l’enfant que sa frange est toujours en bataille, afin de détendre l’atmosphère.

La compositrice défunte n’est autre que la propre mère de l'apprentie coiffeuse, révèle la sang bleu à l’enfant. La candide suggérera alors que toutes deux n’inventent leur propre fin à cette œuvre. De son sempiternel timbre à la douceur printanière, la kuroïte au sang bleu acquiescera tout en se redressant. Sa silhouette éclipse alors celle de l’innocente, sans avoir toutefois l’impudence de défier les Cieux. Le galbe de la noble déchue n’est de toute manière pas très prononcé, du haut de son mètre soixante-six. Son allure svelte témoigne d’un entraînement martial beaucoup plus porté sur la célérité que sur la fermeté. Et si l’arme à sa ceinture témoigne d’un certain statut tout comme d’un héritage familial, il en est autrement de ses atours. En effet, malgré sa fonction, la garde du corps du Prince-Marchand local se complaît dans la simplicité des kimonos l’habillant. Leurs teintes varient cependant autant que ses humeurs et les saisons n’évoluent.

Mais ces habits, s’ils sont traditionnels, servent autant à masquer son corps qu’un chapeau de paille ne vient dissimuler son visage. En effet, bien peu se doutent que cette demoiselle possède des liens indéfectibles avec le défunt Shogun. Seuls ceux par qui il est regretté apprennent que la lame des Fujiwara est en vérité l’enfant faite orpheline par le gouverneur de Mizutsune. La candide à ses côtés ne fait pas partie de ces clairvoyants. Il ne s’agit que d’une brave fille qui tente de maintenir l’entreprise familiale à flots depuis le décès de son paternel. Alors pour cette fois, Sakuya Asano fera montre d’une bribe de son passé à une autre des victimes du joug des Princes-Marchands. Une responsabilité qui, si elle ne lui incombe pas, repose aujourd’hui sur ses épaules par la nécessité d’y mettre un terme. En attendant ce jour, les marques d’appartenance au clan qu’elle prétend servir n’auront de cesse de picoter sa nuque et son échine. La marque des Fujiwara, anciens vassaux de la lignée Asano, ainsi que le tatouage ophidien symbolisant la dévotion de ce corps a l’une des têtes d’Orochi.
Description Psychologique

Fille du Soleil Impérial, baignant dans cette lumière qu’elle incarne.
Vassale du Serpent, dont le venin empoisonne la terre de son ancêtre.

En tant que dernière représentante des Asano, Sakuya aspire particulièrement à ne pas déshonorer le nom lui provenant de son père. Étant l’une des dernières représentantes de la noblesse de l’épée que les Huits Têtes n’ont pas pervertie, son inébranlable droiture cherche aussi bien à inspirer ses pairs qu’elle l’empêche de s’effondrer face à l’adversité. La demoiselle est en effet de ces individus que l’on qualifie bien volontiers de juste.

De bien mornes individus trouveront sa rigueur désuète. À quoi bon vivre ancrée dans des valeurs révolues, refusant ainsi de vivre dans sa propre époque ? À ceux-là, la sang bleu répondra qu’agir de la sorte reviendrait à nier sa profonde nature mélancolique. Et les Dieux savent qu’elle préférerait subir les flammes éternelles plutôt qu’empêcher son cœur et son âme de s’exprimer sans autre filtre que celui de la loyauté. De là à dire que sincérité et compassion sont les premiers mots qu’elle a prononcé, il n’y a qu’un pas.

Son esprit, quant à lui, se doit d’être à la hauteur de ce que l’on attendrait d’elle. L’Art, avec un grand A, s’est naturellement imposé à la nouvelle lune qu’elle représente. Qu’il s’agisse de peinture, de littérature ou simplement de musique. Cet univers constitue l’échappatoire de la jeune femme qui apprécie tout autant s’imprégner des réalisations d’autrui qu’apporter sa propre contribution à ces nobles disciplines. Car s’il est une Loi régissant le monde des artistes, c’est que les plus reconnus d’entre eux sont ceux à même d’insuffler une part de leur être dans leurs créations. Une nouvelle fois, les Dieux savent ô combien la Fleur de l’Archipel ne peut s’exprimer librement qu’à travers l’Art.

Sa vie est toutefois vouée à un autre enseignement. L’Art de la Lame est depuis toujours la discipline qui oriente particulièrement sa façon d’être. L’orpheline est probablement l’une des dernières Kuroïtes à ne pas mettre ses compétences au service du plus offrant, mais bien de celui auprès de qui elle demeure loyale envers et contre tout. La demoiselle voit en effet son Katana comme le prolongement de son corps. A quoi ressemblerait-elle alors si elle commençait à monnayer ce dernier auprès du tout-venant comme de la nouvelle noblesse ? Sans aucun doute à une femme ayant troqué son honneur tout comme son corps en échange de reconnaissance. Or, il y a bien l’une de ces deux choses à laquelle la combattante ne saurait renoncer qu’au prix de sa vie.

Cependant, chaque médaille possède son revers. Pour peu que l’on assimile la Kuroïte au bijou d’un pendentif, son propre revers est sibyllin. Bien évidemment, sa véritable identité est un secret de polichinelle qu’elle veille à n’ébruiter qu’auprès de ceux qui aspirent, comme elle, à voir l’ordre se rétablir dans tout l’Archipel. Or, dans un contexte ou l’entièreté de sa nation la pense passée au fil de l’épée tout comme son père, l’entreprise de rallier à sa cause les fidèles réduits au silence est pour le moins complexe. En plus de s’avérer pour le moins périlleuse. Ainsi, la sang bleu s’est vue contrainte, pour espérer reconquérir sa terre, d’endosser un tout autre masque que celui de l’héritière noble et courtoise.  

Fujiwara Mangetsu. La Lame des Fujiwara, la famille ayant tiré son épingle du jeu en s’érigeant comme figure d’autorité du commerce et de la fabrication des armes Kuroïtes. Un milieu dans lequel la Princesse sans trône n’aurait décemment pas pu se glisser en tant que parangon des valeurs  shogunales. Or, son âme n’est définitivement pas aussi cristalline que l’eau chutant d’une cascade, tandis qu’une carpe tente de la remonter afin de se métamorphoser. Afin de rejoindre la fosse aux serpents, il est nécessaire de se comporter comme eux. Cette part d’ombre, Sakuya ne l’a pas inventée, puisqu’elle a simplement cessé de la refouler. La raison a cessé de guider sa lame pour que les émotions l’orientent. Sa loyauté, si elle demeure pour l’Archipel, s’est détournée de son père pour le fils de son oncle. Enfin, l’honneur motivant ses actes se voit éclipsé par l’appât du gain. En somme, sous couvert d’anonymat, la princesse sans trône s’est résolue à combattre le fléau gangrenant sa terre par les exactes méthodes qu’ils emploient. Sans doute fut-elle inspirée par cette légende ou l’hydre, ivre d’élixir, s’est vue couper les huit têtes afin de trépasser sans pouvoir se régénérer.

Cependant, toute illusion à un prix. Si sa lame n’a jamais pris de vie innocente, le doute a fini par s’emparer d’elle. La vengeance est ce qui l’a poussée dans cette perfide double vie. Son but premier était de réparer l’affront fait au nom des Asano. Mais ce dernier possède-t-il encore le droit de régner, lorsque la seule femme le portant s’est perdue dans une quête éloignée des valeurs qu’elle est censée incarner ?

Votre Histoire

La Disparition des Dieux. L’événement en lui-même a pour ainsi dire sonné le glas de l’Archipel de Kuro tel qu’il fut connu jusqu’alors. Mais si l’on revient trois ans avant cela, c’est un heureux événement que célèbre la famille souveraine. La naissance de leur second enfant, béni d’un Œil Divin frappé de l’élément Electro. La cadette sera nommée en l’honneur du cycle lunaire l’ayant vue venir au monde, alors que le printemps s’amorçait. Sakuya, de la fière lignée des Asano, dont la nouvelle-née ne serait toutefois pas l’héritière. Ce rôle aurait effectivement dû revenir au frère aîné, Haruki, le premier fils de Taiyō Asano et d’Eiya Yotsuki. Le futur successeur du Shogun  était certes étranger à la neutralisation de Port-Liberté, mais cela ne l’empêchait pas d’être grandement apprécié de son peuple.

Pour ce qui est de l’exercice d’autorité sur un tiers, néanmoins, sa sœur ne serait pas en reste. En effet, la lignée Shogunale était liée à une autre famille, celle des Fujiwara, par un pacte de vassalité. Les deux clans respectifs trouvaient leur origine dans un différend entre frères ayant chacun été abusé par la même concubine qui s’était révélée être un de ces démons trompeurs à neuf queues. Le subterfuge fut découvert, mais la scission était déjà trop grande. Réglée dans le sang, cette dernière aura vu la lignée régente triompher du clan opposant. Le propre père de Sakuya avait, à regret, fait de son frère un vassal sans terres, contraint qu’il fut de le sanctionner pour cette rébellion.

Or, les voies des Dieux Kuroïtes sont impénétrables. La jeune enfant aura tout juste eu le temps de souffler sa troisième bougie avant que son Archipel, à l’instar de tout Nymlerith, ne voit le Père de l’Aube s’éteindre. La stabilité procurée jusqu’alors par son Éclat laissa progressivement place à un chaos se nourrissant de lui-même. La nation Kuroïte, à l’instar de ses voisins, fut déstabilisée par un mal provenant de la nature. La Lys-Araignée, plante réputée pour ses vertus, devint vectrice d’un fléau transformant les plus petits villages côtiers en charniers. Les grandes villes, loin d’être épargnées, sombrèrent dans l’anarchie face à l’incapacité du Shogun de combattre efficacement cette nouvelle maladie.

Mais les temps durs créent des hommes forts. Si cette maxime s’est vérifiée, sa nature a pourtant été corrompue. Avec le pouvoir en place fragilisé, l’armée Shogunale elle-même n’était plus si dévouée qu’en temps normal. En cette période d’épidémie, l’argent fut un des vices aptes à corrompre le bras armé de Kuro. La population elle-même fut victime de cette machination, les provinces se soulevant l’une après l’autre contre un souverain dépassé. La caste marchande du pays parvint à retourner une partie des soldats des Asano contre leur dirigeant, jusqu’à ce que ceux-ci fassent irruption dans un palais défendu par trop peu de fidèles. Le Shogun, sa conjointe et son fils furent exécutés sommairement.

Ce coup d’état aurait pu sonner le glas de la lignée Shogunale. Seulement, Sakuya est parvenue à en réchapper. Nul miracle divin n’en est à l’origine, puisque les Dieux ont détourné le regard de Nymlerith. La jeune princesse ne doit son salut qu’au courage d’une servante, qui a décidé de fuir avec la sang bleu tout en sacrifiant sa propre fille qui, par chance, avait le même âge que l’Asano, et une apparence assez semblable pour que cela puisse faire illusion. Néanmoins, au sein d’une patrie en proie au chamboulement, la servante affranchie savait ne pas pouvoir survivre de ses propres moyens, en particulier avec une bouche à nourrir. Une fleur à l’état de bourgeon dont, songea l’affranchie, dépendait l’avenir de l’Archipel.

Ce salut finira bien par se présenter. La domestique échouera dans la capitale, alors divisée en huit districts que se sont répartis les huit familles les plus riches du pays, ensevelissant le symbole même du pouvoir Kuroïte sous leurs querelles de pouvoir et d’influence. L’ironie atteindra son comble lorsque les deux femmes seront recueillies par un individu familier : Eiji Fujiwara, neveu de feu Taiyō Asano et Prince-Marchand auto-proclamé. Le pacte unissant jadis les deux familles avait permis aux forgerons de faire valoir leur talent, fruit de siècles de pratique. Les esclaves avaient choisi de briser leurs chaînes dans le sang et le déshonneur en armant de tierces nobles afin que ne soient exécutés leurs geôliers. Comble de la trahison, voilà que la Princesse deviendrait vassale à la place du vassal.

Naturellement, son véritable nom sera gardé sous silence. Et l’enfant sera arrachée à sa supposée mère, pour être élevée en tant que véritable combattante. La poésie, la peinture, nombre d’autres loisirs serviront à la jeune âme à se créer son propre monde. Sa tutrice avait été formelle : elle savait qu’Eiji en ferait une enfant-soldat, même en ignorant qu’il s’agissait de sa cousine au sang bleu. Alors cette dernière devrait répondre à un prénom factice, qui serait relié au nom des Fujiwara. Probablement que son sang noble altérerait son conditionnement, mais pour le bien de Kuro, l’illusion devait être maintenue. Alors quand bien même Sakuya ne négligerait pas sa culture, Mangetsu elle, plongea corps et âme dans l’art du Sabre afin de devenir l’une des Lames des Fujiwara, dès qu’elle fut en âge de manier un katana.

Heureusement pour la princesse, son lien avec son ancienne servante ne sera pas rompu. Cette dernière, à l’aube d’une nouvelle vie, se découvrit une passion et un talent inné pour la coiffure. De plus, elle ne tardera pas à trouver une attache plus sentimentale dans ce district, qui lui permit de s’installer dans un véritable commerce. Un établissement que l’Asano ne manquera pas de fréquenter assidûment pour l’usage prévu à cet effet autant que pour ressasser son douloureux passé et trouver un certain réconfort lorsque le besoin s’en fait sentir. Les années passèrent, et le frêle bourgeon deviendra une magnifique fleur dont la beauté ne sera pas sans provoquer un certain émoi dans son entourage.  

En effet, l’évolution au sein de cette tête d’Orochi était purement due au mérite. Les éléments les plus gradés étaient immanquablement les plus loyaux envers le Prince Eiji. Naturellement, ce dernier n’était donc que rarement remis en cause par ses subalternes. De là à dire qu’il pouvait réclamer ce qu’il voulait, il n’y a qu’un pas et c’est tout naturellement qu’il finit par remarquer cette magnifique fleur à son service, faisant preuve d’un indéniable dévouement. Son éloignement avec le défunt Shogun fait qu’il ne peut soupçonner que cette jeune femme venant de souffler sa dix-huitième bougie possède un lien de sang avec sa personne. C’est uniquement pour l’excellence de ses états de service qu’il lui propose de devenir sa garde du corps personnelle. Sakuya, ignorante des intentions lubriques que nourrit ce Prince-Marchand à son égard, décide de saisir l’occasion d’être au plus près d’une des têtes du Serpent. Afin d’être prête lorsque viendra l’heure de la trancher.

Lors de son adolescence, on ne peut nier que la Kuroïte a pris ce faux rôle au sérieux. Elle a découvert la misère frappant une part de la population, prisonnière du conflit opposant les Huit Têtes sans pouvoir tirer leur épingle du jeu. Elle a découvert la profonde scission divisant son peuple entre opprimés et oppresseurs. Les résignés, qui n’attendent que de voir la mort les libérer. Mais aussi les profiteurs, ne se souciant pas de prélever cent roupies à un homme n’en ayant qu’une cinquantaine pour vivre. Et parce que tout cela ne suffisait pas, elle a pu témoigner du retour de la piraterie. Cet autre fléau que le Champion de son père a jadis contribué à réduire au silence, semble reprendre de plus belle. Cependant, la mentalité de la Princesse Kuroïte elle aussi a évolué. À mesure qu’elle s’immergeait dans les pensées du Serpent, elle a bien remarqué les divisions propres à chacune de ses têtes pensantes.

Le statut du gouverneur, en premier lieu. Un ancien soldat émérite de son père, que Sakuya ne considère pas étranger a l’épine dans le pied d’Orochi représentée par la piraterie. Les larbins et autres dignitaires des Fujiwara ne tarissent pas de critiques à son égard, aussi acquiesce-t-elle silencieusement à leurs remarques sans se fendre d’un avis personnel qu’elle n’a pas, en tant que Lame. Or, il va de soi que toute personne nuisant aux Huit peut représenter un allié potentiel pour ses plans. La nécessité de proximité constance avec son cousin ne lui a pas encore permis de rencontrer cet ancien vassal, ni aucun des pirates ou corsaires dont l’activité semble fleurir de nouveau. Peut-être le temps est-il venu ou sa propre lame est assez affûtée. Peut-être est venu le temps de s’entourer d’alliés afin de rendre à son Archipel le gouvernement qu’il mérite et dont il n’aurait jamais dû être privé.

Ainsi, la Princesse a-t-elle décidé de faire courir de nouveau sa rumeur. Frappée du symbole de la plante ayant conduit sa lignée à sa perte, comme pour marquer sa renaissance. Un événement en particulier a poussé l’Asano à sortir de l’anonymat. Depuis peu, et après deux décennies de silence, le Père de l’Aube baigne de nouveau Nymlerith de sa lumière salvatrice. Si son Œil Divin ne lui a jamais fait défaut, la demoiselle a pourtant jugé de bon ton d’en refaire usage sans pouvoir être reconnue, afin que cette Nuit de l’Espoir soit également valable pour l’Archipel l’ayant vue naître. En ce qui la concerne néanmoins, cette lumière émise par le Père doit encore atteindre le véritable mal de Kuro. Peut-être changera-t-elle à nouveau de Seigneur afin d’être non plus une Lame, mais une Libératrice.
Dans la vraie vie
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Père de l'Aube
Père de l'Aube
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Père de l'Aube
Jeu 15 Fév - 22:31
ATTENTION
Voilà le Staff
Une princesse revenue d'entre les morts ?


Quelle belle interprétation de ce scénario ! Cette double identité sur le fil du rasoir est un parti pris très intéressant et nous avons hâte de voir jusqu'où ce jeu des masques peut te mener car tu es..

Validée !

Bienvenue à toi sur Mirror of Magic, et bonne chance pour couper les huits têtes du Serpent ! Surtout en faisant miroiter ta loyauté à l'une d'entre-elle.

Penses à faire ta fiche technique pour pouvoir combattre librement, sinon, tu peux aussi très bien rechercher des partenaires pour tes premières aventures. Mais c'est toujours mieux avec la fiche technique, ça donne plus de libertés concernant tes capacités et puis...

Tu as un gain de potentiel avec cette validation !

Ainsi tu commences l'aventure avec 1,000 points de Potentiel et +200 en bonus, ce qui te fait un total de... 1,200 !

Bravo, et bon shopping pour tes étiquettes !

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